Londres veut passer à la vitesse supérieure dans les relations économiques avec l’Algérie

La Grande Bretagne envisage de développer ses relations économiques et commerciales avec l’Algérie.
Bill Rammell, secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères a confié mardi à la presse la volonté de son pays d’engager des projets d'investissements dans des domaines comme l'éducation, l'industrie pharmaceutique ou les télécommunications.

M. Rammell participait à la troisième session du comité économique algéro-britannique, qui s’est ouverte lundi.

Notons que La British Petroleum (BP) est particulièrement bien implantée en Algérie et que les investissements britanniques cumulés dans le pays s'élèvent à 50 milliards de dollars tous secteurs confondus.

Plus d'une centaine d'entreprises britanniques sont présentes dans ce pays, notamment dans le secteur des médicaments. "Nous sommes le plus gros investisseur dans ce pays", a insisté M. Rammell.

L'Algérie et la Grande-Bretagne doivent signer prochainement deux accords économiques portant sur la non-double imposition et la garantie d'investissement.