La vie de 5 étudiants Tunisiens en grève de la faim est en danger. Il y a urgence.
Le Parti communiste français exprime sa solidarité avec cinq étudiants tunisiens de l'UGET, en grève de la faim depuis le 11 février afin d'exiger le respect de leurs droits : droit d'exercer un mandat syndical, droit de poursuivre leur études librement.
Le régime du Président Ben Ali montre une fois encore son caractère policier, répressif et brutal en refusant obstinément tout dialogue.
Aujourd'hui, c'est la vie même des étudiants qui est en danger après 45 jours de grève de la faim. Leur état de santé est très dégradé et alarmant.
Dans cette situation préoccupante la responsabilité des autorités tunisiennes est engagée. Elles doivent entendre les revendications des étudiants. Il y a urgence.