Zlatan Ibrahimovic (capture d'écran)

Zlatan Ibrahimovic... chronique de l'argent qui coule à flots

On ne parle que de lui et de son salaire mirobolant, à l'heure où des milliers de salariés sont jetés à la rue et que d'autre encore se préparent à rejoindre les agences de Pôle emploi. La nouvelle acquisition du PSG arrosé par l'argent du Qatar continue à alimenter la chronique de l'été.

Pas moins de 250 journalistes italiens, suédois anglais ou français étaient au rendez-vous mercredi 18 juillet pour écouter les premiers mots de Zlatan Ibrahimovic, acheté au prix fort, grassement rémunéré, à hauteur d'un budget de deux ou trois clubs de football.

«C’est le recrutement parfait sur le plan sportif et sur celui de l’image. Tout va ensemble. C’est ce qu’on cherche, agrandir le club, l’image, le nom. Et le sportif guide tout. Zlatan est une personne et un joueur qui te donne tout. Des résultats sportifs, une grande image», s'est réjoui le directeur sportif du PSG.

"Pas une vente forcée" !

Mai qu'on se le dise: il ne s'agit pas d'une "vente forcée". «Je vais être très clair là dessus, ça a été un investissement que nous avons réalisé avec toutes nos forces. C’est bien un achat du PSG et non pas une vente. Point barre!»; a martelé le directeur sportif.

«Ce changement de dimension est important pour le club. On est dans le plus haut marché du football. On est très fiers de ça. On voit déjà dans la rue le sentiment des gens. On se sent fort avec le nom de Paris (sur le maillot)», a clamé le sieur Leonardo.