Le ministère de la santé de Gaza a annoncé que plus de 9 000 personnes, dont 3 760 enfants, ont été tuées et environ 32 000 blessées. Israël a attaqué le camp de réfugiés de Jabaliya, causant la mort d'au moins 50 personnes, selon le Hamas. L'armée israélienne confirme avoir ciblé le camp.

Israël déclare avoir intercepté un missile sol-sol lancé depuis la région de la mer Rouge, prétendument par les rebelles houthistes au Yémen. Tel Aviv reconnait par ailleurs la perte de 350 militaires. 

Les bombardements Israéliens sur Gaza ont causé la mort de plus de 3 600 enfants palestiniens en seulement 25 jours, selon le ministère de la santé du Hamas. Ces enfants ont été victimes des frappes aériennes, des explosions et d'effondrement de bâtiments. Parmi eux se trouvaient des nouveau-nés, des enfants en bas âge, et des garçons pensant être en sécurité dans une église.

Le Hamas accuse l’armée israélienne d’un nouveau massacre dans le camp de réfugiés de Jabaliya en moins de vingt-quatre heures. Israël avait déjà reconnu hier avoir frappé ce camp et annoncé l’élimination d’un commandant du Hamas, qu'elle considère comme responsable de l'attaque lancée le 7 octobre.

Une « très forte tempête automnale » est attendue sur le quart nord-ouest de la France entre le 1er et le 2 novembre. Les départements des Côtes d'Armor, du Finistère et de la Manche ont été placés en vigilance rouge pour la nuit de mercredi à jeudi. 

L’aviation israélienne intensifie ses bombardements sur Gaza, le bilan dépasse les 8000 morts, dont plus 3000 enfants, tandis que 1,4 million de personnes ont été déplacées. Les civils survivants sont pris au piège dans le petit territoire. Les autorités égyptiennes ont annoncé l'ouverture exceptionnelle du terminal douanier de Raffah pour permettre à près de 90 blessés palestiniens et environ 450 binationaux et étrangers de quitter la région. 

Le Croissant-Rouge palestinien signale des bombardements israéliens à proximité d’un de ses hôpitaux dans la bande de Gaza. Des frappes qui mettent en danger les civils réfugiés dans l’enceinte de l’établissement et rendent de plus en plus difficile les soins apportés aux blessés, dont de nombreux enfants menacés de morts. 

Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a exclu toute possibilité de cessez-le-feu, ce qui prolonge et aggrave la situation dans la bande de Gaza. L'armée israélienne continue de bombarder la région sans relâche.

La Banque mondiale a averti que les prix du pétrole pourraient atteindre des niveaux sans précédent si la guerre s'intensifie entre Israël et le Hamas. Cette situation pourrait entraîner une augmentation des prix des denrées alimentaires dans le monde entier. 

Selon les projections sur les marchés des matières premières de la Banque mondiale,  si le conflit s’aggrave, la situation pourrait très rapidement se détériorer. Vu les dernières évolutions, les prévisions vont plutôt dans ce sens. 

Les survivants du massacre de Gaza sont coupés du reste du monde depuis vendredi soir. Internet et toutes les liaisons ont été interrompues par Israël, tandis que les bombardements s’intensifient comme jamais depuis le début de cette tuerie de masse en réponse aux attaques du Hamas

Les forces israéliennes ont mené un second raid terrestre à Gaza en préparation d'une invasion imminente du territoire dirigé par le Hamas. Simultanément, des avions de guerre américains ont frappé des cibles dans l'est de la Syrie en réponse à des attaques contre les forces américaines par des combattants soutenus par l'Iran. Une nouvelle escalade alors que le nombre des victimes palestiniens a dépassé le seuil de 7 000 morts.

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