La perle Palmyre sous la menace des meutes de l'Etat islamique

Palmyre, oasis étincelante dans le désert syrien, cité antique aux milles et uns trésors archéologiques est sous la menace des soldats sanguinaire de l’obscurantisme…

Les meutes de l’Etat islamique étaient à deux doigts de l’occuper et de la saccager sous les yeux du reste du monde, samedi 16 mai, parvenant à s’emparer d’une partie du nord de la ville, avant d’être repoussés le lendemain par les troupes de Bachar Al-Assad dans des affrontements particulièrement sanglants.

Repoussées seulement, car les hordes diaboliques ne sont pas loin, qui vont encore tenter d’investir le site, de réaliser, après la prise de la ville Irakienne de Ramadi, l’exploit d’une implantation stratégique.

Car outre sa beauté légendaire qui procurera un écho médiatique planétaire aux « djihadistes », la perle Palmyre est limitrophe de la province irakienne d’Al-Ambar, dans une zone riche de ressources énergétiques, notamment des champs gaziers. L’argent du pétrole et du gaz, nerf de la guerre que mènent sauvagement les « fous de Dieu », avec une barbarie sans limite.

Si elle venait à se produire, la chute de Tadmor (nom de Palmyre en arabe) marquera une nouvelle étape dans l’horreur qui ravage cette partie du monde.